Togo : le CACIT insiste sur la nécessité de protection juridique des journalistes
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Le Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT) accorde une place très capitale à la protection juridique des professionnels des médias au Togo. En témoigne une capsule vidéo diffusée depuis quelques jours sur les réseaux sociaux et qui renseigne de fond en comble sur cette protection.
Le CACIT estime qu’il est impérieux de créer un environnement ‘libre’ et ‘sûr’ pour tous les journalistes. En le faisant, soutient le collectif, on garantit le respect de tous les droits humains et libertés fondamentales de l’homme.
« Tous les journalistes ont droit à la protection contre les violations des droits de l’Homme et tous les abus », note le CACIT qui brandit les articles 26 de la constitution togolaise et 19 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme.
Cependant, rappelle-t-il, l’exercice de la fonction de journaliste, de technicien des médias et d’auxiliaire de presse est soumis au respect du code de déontologie de la presse et des lois et règlements en vigueur. « Le journaliste publie uniquement les informations dont la source, la véracité et l’exactitude sont établies », marque le CACIT.
Cette capsule s’inscrit dans le cadre du ‘Projet d’accompagnement pour un meilleur accès des journalistes au droit et à la justice au Togo’. Un projet financé par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) et mis en œuvre par le CACIT.
Selon les informations, d’autres capsules sont publiées pour aborder la protection des femmes journalistes et les mécanismes nationaux, régionaux et internationaux de protection des professionnels de médias.
Pour rappel, la communauté internationale a célébré le 3 mai dernier la 30ème Journée internationale de la liberté de la presse.