Suivant le communiqué qui a sanctionné les travaux, il ressort que les discussions ont été 'sincères'. Les deux parties, selon le document, ont librement exprimé leur point de vue sur les questions constitutionnelles et ont évalué les mesures d’apaisement et du renforcement d’un climat de confiance.
Le document ne fait néanmoins pas mention des décisions qui ont été prises à ces deux propos. On note à la fin du communiqué que les deux parties, pouvoir et opposition, ont convenu de se retrouver à une date qui va être décidée ultérieurement.
A cette deuxième séance du dialogue, étaient présents, les représentants du gouvernement, du parti au pouvoir, l’Union pour la République (UNIR), de la coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise, sous la présidence de Nana Akufo-Addo.
Il faut dire que les deux parties en face, lors des travaux préparatoires de ce dialogue, ont convenu dans leur règlement intérieur, de discuter en dix (10) jours sur douze (12) points.