L’UFC, indique une mise au point, n’a jamais mandaté le sieur Ekue pour parler en son nom.
« Il nous est donné de constater sur les réseaux sociaux et les sites d’informations politiques que l’UFC prédit l’alternance au Togo dans 10 ans », écrit le parti de Gilchrist Olympio.
L’UFC tient à faire savoir à tous que son objectif principal demeure l’alternance politique pacifique qui passe impérativement par l’expression du peuple. Ceci, à travers les urnes, ajoute le parti du patron de l’opposition togolaise.
« C’est au peuple souverain qu’il revient de choisir ses propres dirigeants, donc nul ne peut prédire l’alternance à la place de celui-ci », lance l’UFC.
Pour rappel, en mai 2010, l’UFC, parti politique qui incarnait à l’époque la lutte politique, a signé contre toute attente, un accord politique avec le Rassemblement du peuple togolais (RPT) devenu, l’Union pour la République (UNIR).
10 ans après, cet accord décrié par de nombreux Togolais et qui a favorisé la création de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) de Jean-Pierre Fabre, n’a accouché que d’une souris. Mais selon les responsables de ce parti, les retombées de cet accord sont énormes sur plusieurs plans, notamment la décrispation de la tension politique.
Cependant, en 2017, les mêmes remous politiques que cet accord voulait éviter, sont revenus au galop.